Thibault, un français, la classe

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v o g u e

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Parmi les trois questions sélectionées, nous vous demandons d'en choisir deux que vous devrez developper en anecdotes. Nous ne demandons pas de nombre de lignes particulières, pour les annecdotes comme pour les réponses, mais nous jugerons lors de la validation.

Bonjour et merci d’accorder quelques minutes à notre magazine. Avant que l’on commence, simplement pour l’interview, pourriez vous me rappeler depuis combien de temps travaillez-vous pour l’Agence maintenant ?
« Bonjour, bonjour, excusez moi du retard, hein, parce que je suis overbooké en ce moment. Et puis j'aime surtout me faire attendre le jeune homme s'assoit et se racle la gorge. Depuis quand je travaille pour l'Agence ? Depuis cinq ans, et oui, juste un an après l'ouverture, je suis un vieux de la vieille comme on pourrait dire. »

Dîtes moi ce qui vous a poussé à rentrer dans ce milieu. Ce n’est pas le genre de carrière que l’on choisis par hasard.
« C'est clair que la mode on ne choisit pas ça par hasard et qu'en plus, pour pouvoir se faire un vrai nom, il faut avoir du courage, et surtout avoir du talent, mais ça je l'ai. Thibault éclata de rire. Non je plaisante, mais il faut surtout avoir une volonté de fer et le vouloir vraiment, ici, personne ne se fait de cadeau. Je suis entré dans le milieu de la mode parce que premièrement, c'est un marché qui ne cesse de s'accroitre. Et surtout que j'adore la compétition, c'est mon moteur pour avancer. »

Entre nous, Mindy est elle vraiment à l'image de sa réputation ?
« Cela dépend de l'image que vous avez d'elle. Mais en tout cas cette agence est menée d'une main de maitre, rien de dépasse, tout est en place et c'est ça qui fait la renommée de notre agence? En plus Mindy étant une ancienne mannequin, elle connait bien ce milieu et a des milliers de contacts. Et ne prêtez pas tant d'attention a toutes les rumeurs qui circulent. »

Vous souvenez vous de la première fois que vous l'avez rencontrée ?
« Ahaha, ce n'est pas très glorieux, mais je vais vous le raconter. »

Spoiler:

Si je comprends bien, en entrant dans l'Agence vous avez dû vous installer à New-York ? Cela vous a t-il beaucoup changé de là où vous habitiez avant ?
« Je trouve New-York plus reposante que Paris où j'ai habité depuis que je suis né. Même si j'ai un travail plus fatigant et que j'habite l'une des rues les plus bruyante et surpeuplée, l'ambiance est meilleure ici. Enfin, je ne sais pas vraiment, peut-etre que dans dix ans je voudrais tous les tuer, mais pour l'instant j'adore cette ville. »

Venons en aux autres employés. Ne me dites pas que tout est toujours rose entre vous, je suis sûre qu'il doit y avoir quelques ... crêpages de chignon, je me trompe ?
« Dans toutes les entreprises, familles, institutions, il y a toujours des problèmes, on ne peut pas s'entendre avec tout le monde, malheureusement, sinon il n'y aura pas de guerre. Mais il y a eu des choses graves, et je ne m'étendrait pas sur le sujet, c'est compliqué. Et quelque chose d'impossible a raconter en une interview. »

Est-ce la même chose entre vous et les mannequins ?
« Bien sur que non, ils me respectent, même si derrière ils iront peut-être cracher, ils ne sont même pas arrogant, je suis un des styliste les plus important ici, ils savent que je peux demander à Mindy qu'ils ne soient pas dans mon défilé si je le veux. Donc ils évitent de se faire remarquer. Et puis il y a plus souvent des parties de beuveries que de tuerie entre mannequins. Nous sommes assez normaux en fait. »

Quel est le pire coup bas que quelqu'un vous ait fait ici ?
« Ce n'est pas vraiment un coup bas, mais je pense que c'est quelque chose horrible donc, il faut en parler. »

Spoiler:

Très bien, merci beaucoup. Je pense que j'ai ce qu'il me faut et que nous en avons finit. Bonne continuation, au revoir.
« Vous partez déjà ? dommage, j'aurais bien aimé faire plus ample connaissance. Parce qu'une jolie femme, c'est sympa. Bien qu'être entouré de mannequins c'est cool aussi. Mais vous semblez bien plus mure, sur le plan sexuel je veux parler, bien qu'elles soient toutes très mures... Enfin, bref, au revoir donc, j'espère vous revoir chère amie »

& 1027 mots.

b o o k

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